Grand bravo au BLMA pour avoir triomphé largement de Charleville-Mézières sur la marque de 57-51. Si, si. Bon OK, il aura fallu attendre les alentours de la 25ème et la marque de 35-34 pour voir les lattoises passer en tête pour la première fois, mais on ne jouera pas les rabats-joie pour autant.
Bizarrement, le BLMA joue le début de cette rencontre avec 4 joueuses majeures et peu de rotations: SKRELA, SACKO et PEROVANOVIC sont à 10 minutes de jeu alors que POTO en cumule déjà 8'17. En face, on tourne déjà beaucoup plus. Mais l'évaluation donne une idée bien précise de la qualité de la rencontre: 9 à 13. Et alors que l'on s'attendait à ce que Kristen MANN déchire tout sur son passage, c'est finalement Djene DIAWARA qui fait le job: déjà 6 points, 6 rebonds et 11 à l'évaluation.
Le BLMA concède un moment une série de 1-7 (11-17) et l'écart finit par atteindre par deux fois les -7: 14-21 (MBOMA) puis 16-23 (MANN). Dans ce cas, quand la situation est mal engagée, Alicia POTO sort de sa boite. Non pas au poste de meneuse, dont on a bien compris qu'elle l'avait abandonné, mais en tant qu'artilleuse. L'australienne initie la révolte qui conduira la capitaine Gaëlle SKRELA à égaliser à 29-29 un peu par miracle. Mais au moins cela récompense-t'il son incroyable abattage.
Bizarrement, le BLMA joue le début de cette rencontre avec 4 joueuses majeures et peu de rotations: SKRELA, SACKO et PEROVANOVIC sont à 10 minutes de jeu alors que POTO en cumule déjà 8'17. En face, on tourne déjà beaucoup plus. Mais l'évaluation donne une idée bien précise de la qualité de la rencontre: 9 à 13. Et alors que l'on s'attendait à ce que Kristen MANN déchire tout sur son passage, c'est finalement Djene DIAWARA qui fait le job: déjà 6 points, 6 rebonds et 11 à l'évaluation.
Le BLMA concède un moment une série de 1-7 (11-17) et l'écart finit par atteindre par deux fois les -7: 14-21 (MBOMA) puis 16-23 (MANN). Dans ce cas, quand la situation est mal engagée, Alicia POTO sort de sa boite. Non pas au poste de meneuse, dont on a bien compris qu'elle l'avait abandonné, mais en tant qu'artilleuse. L'australienne initie la révolte qui conduira la capitaine Gaëlle SKRELA à égaliser à 29-29 un peu par miracle. Mais au moins cela récompense-t'il son incroyable abattage.
Photo Mathilde HERGOTT
Lors du 3ème quart, le BLMA connaîtra un temps fort concrétisé par un 16-4. Et si Ana LELAS sera le plus souvent à la finition, tout comme POTO une nouvelle fois, c'est bel et bien qui nous fait une superbe partie. Charleville est maintenant mené de 9 unités. Amel BOUDERRA, dont on sent bien qu'elle pourrait faire pencher la balance, alterne les bonnes décisions (peu nombreuses ce soir) et les mauvaises (plus nombreuses): passages forcés, pénétrations inutiles et balles perdues (7 déjà à la fin du 3ème quart) sont légion.
A l'entame de la dernière ligne droite, les Flammes reprennent espoir grâce à un 0-10 signé OUERGHI, DIAWARA et BOUDERRA qui les replace alors en tête 50-51. Le BLMA n'a pas marqué depuis plus de 5 minutes lorsqu'un 3-points de...SKRELA va nous sauver la mise, laissant ensuite muettes nos hôtes de la soirée pour le reste de la rencontre. Lorsqu'il comprend que c'est fait, Valérie DEMORY exulte sur le bord de la touche un peu comme s'il avait été champion du Monde, preuve sans doute des doutes et de la pression qu'il doit ressentir. Une nouvelle fois, Guy PRAT encourage la foule, finalement assez nombreuse, à manifester sa joie. Ouf, mais attention: le BLMA a bientôt fini de manger son pain blanc!
BLMA 57 - Charleville 51 (11-15, 18-14, 21-12 et 7-10)
A l'entame de la dernière ligne droite, les Flammes reprennent espoir grâce à un 0-10 signé OUERGHI, DIAWARA et BOUDERRA qui les replace alors en tête 50-51. Le BLMA n'a pas marqué depuis plus de 5 minutes lorsqu'un 3-points de...SKRELA va nous sauver la mise, laissant ensuite muettes nos hôtes de la soirée pour le reste de la rencontre. Lorsqu'il comprend que c'est fait, Valérie DEMORY exulte sur le bord de la touche un peu comme s'il avait été champion du Monde, preuve sans doute des doutes et de la pression qu'il doit ressentir. Une nouvelle fois, Guy PRAT encourage la foule, finalement assez nombreuse, à manifester sa joie. Ouf, mais attention: le BLMA a bientôt fini de manger son pain blanc!
BLMA 57 - Charleville 51 (11-15, 18-14, 21-12 et 7-10)