En octobre 2010, elle avait reçu le prix "Sport, filles et diversité" attribué par la Région Languedoc-Roussillon, un des 5 prix décernés dans le cadre du concours Femmes et sport lancé par la Direction de la jeunesse, des sports et de la cohésion sociale et le Comité Régional Olympique Sportif. L'objectif de ce prix? Récompenser la meilleure stratégie ou action en matière de la pratique physique et sportive féminine ou mixte dans les quartiers urbains. Voici ce que disait alors le journal de la Région:
"Ce prix est décerné à Simone RAYNAL du club de Basket Lattes Montpellier Agglomération. Depuis plus de 25 ans, Simone RAYNAL œuvre pour ce club et est à l'origine de la diversité dans le recrutement et la pratique du basket féminin, au sein notamment du quartier des Cévennes et du Petit-Bard".
Tout est dit tellement cette récompense semble assez caractéristique de ce que fût Simone RAYNAL dans le petit monde du basket local. Oui, "fût"... Car ce dimanche, Simone RAYNAL nous a fait faux bond pour la première fois. L'arbitre a sifflé la fin de la rencontre. "Mère Simone", "Madame RAYNAL", la "maman du basket" - pour ne reprendre que quelques uns des termes affectueux ou respectueux qui envahissent les réseaux sociaux depuis vendredi - s'en est allée rejoindre quelques anciens, sans aucun doute au Paradis des amoureux du basket et des enfants, en tout cas des bonnes personnes.
"Ce prix est décerné à Simone RAYNAL du club de Basket Lattes Montpellier Agglomération. Depuis plus de 25 ans, Simone RAYNAL œuvre pour ce club et est à l'origine de la diversité dans le recrutement et la pratique du basket féminin, au sein notamment du quartier des Cévennes et du Petit-Bard".
Tout est dit tellement cette récompense semble assez caractéristique de ce que fût Simone RAYNAL dans le petit monde du basket local. Oui, "fût"... Car ce dimanche, Simone RAYNAL nous a fait faux bond pour la première fois. L'arbitre a sifflé la fin de la rencontre. "Mère Simone", "Madame RAYNAL", la "maman du basket" - pour ne reprendre que quelques uns des termes affectueux ou respectueux qui envahissent les réseaux sociaux depuis vendredi - s'en est allée rejoindre quelques anciens, sans aucun doute au Paradis des amoureux du basket et des enfants, en tout cas des bonnes personnes.
A titre personnel, je ne me targuerai pas d'avoir beaucoup connu Simone. Juste de l'avoir quelque peu fréquentée, chaque fois avec un réel plaisir, il y a maintenant deux saisons lorsqu'elle abritait entre autres Audrey et Aline DUMONT. Lors de quelque projet d'avenir également. Je sais en revanche tout le bien qu'en ont toujours dit celles qui ont eu la chance de la fréquenter, de travailler avec elle, pour certain(e)s de s'en être sorti(e)s grâce à elle ou encore d'être hébergées chez elle et son mari Michel vers qui vont toutes nos pensées en ce jour.
Une chose est sûre: la trace que laisse Simone RAYNAL restera indélébile...
Une chose est sûre: la trace que laisse Simone RAYNAL restera indélébile...