Ceux qui me connaissent savent ce que signifie pour moi le nom de Laure ECARD et que pas un week-end pendant la saison de basket - je dis bien "pas un" - ne se passe sans que je pense à celle qui a laissé sa vie lors de ce voyage retour de Montpellier à Nice un dimanche soir d'avril 2008 ainsi qu'à ses copines et accompagnateurs marqués eux aussi à jamais dans leurs chaires ou dans leurs esprits. De ce terrible accident et pour que jamais personne n'oublie Laure est né le plus beau des tournois, le Tournoi Laure-Ecard, qui connaîtra ce week-end sa 10ème édition. Une immanquable occasion de faire le point avec celui qui en a été très longtemps la cheville ouvrière et qui reste encore très impliqué dans l'organisation, Philippe MANASSERO.
• Philippe tu as été sauf erreur de ma part Président de l’UNSBB (organisateur du Tournoi), un des piliers de sa mise en œuvre et en tout cas sans doute la personne la plus connue du grand public. Peux-tu nous raconter qui est impliqué dans l’organisation de cette manifestation ?
L'UNSBB (Union des sociétés niçoises de basket) qui est une association loi 1901 qui a en charge depuis de très nombreuses années la coordination des associations de basket de Nice puisque la ville a toujours eu entre 8 et 10 équipes de basket, soit près de 1.500 licenciés. J’en ai été effectivement le Président pendant près de 20 ans. Après le terrible accident de 2008, le maire de Nice Christian ESTROSI et son adjoint aux sports Gilles VEISSIERE m'ont demandé, au titre de l'Union, de réfléchir à organiser un moment de mémoire pour Laure. Nous avons donc créé ce merveilleux tournoi qui fête sa 10ème édition cette année. Le Département 06 avec ses présidents successifs Eric CIOTTI et maintenant Charles-Ange GINESY nous accompagnent également.
Depuis 2 ans j’ai laissé la présidence à un jeune dirigeant, Yanis SKAKIC, fils de l'ancien joueur croate qui a joué à l'époque en première division au Nice UC et à Monaco et actuel président de l'Eveil de Nice. Je suis resté vice-président pour continuer accompagner les dirigeants de l'UNSBB sur ce merveilleux tournoi. Avec Yann, il y a une deuxième cheville ouvrière, la secrétaire générale Françoise GENOVESI, ancienne joueuse du Cavigal et ex-directrice du Centre de Formation du Cavigal sous l'ère Louis BACCHIALONI. L'ensemble des présidents des clubs niçois est également totalement impliqué avec leurs dirigeants, leurs bénévoles et leurs licenciés. Je ne veux pas oublier également le trésorier de l'association Joël MARTEAU du CTBB. Dernier point, il faut savoir que les parents de Laure, Sylvie et Jean-François, sont consultés et impliqués sur toutes les décisions que nous prenons sur l’organisation de ce Tournoi.
• Peux-tu nous préciser également ton rôle à titre personnel ?
Mon rôle cette année a été de me mettre un peu moins en 1ere ligne. Mes fonctions de président du CDOS 06 depuis 5 ans me prennent beaucoup de temps et d'énergie mais ce Tournoi reste pour moi un moment merveilleux de générosité. Yann et Françoise sont avec Joël beaucoup plus en prise directe sur la gestion de l’événement cette année.
• A quelle époque de l’année la machine se met-elle en marche ?
Depuis 2 ans nous commençons à être moins dans le stress qu'au début en commençant à réfléchir à partir de novembre-décembre, ce qui nous laisse beaucoup plus de temps pour l'organisation sans nous mettre dans un stress usant.
• Je crois que la Fédération vous aide beaucoup pour le plateau sportif mais dans l’organisation en général, qu’est-ce qui est le plus difficile à maîtriser ?
La FFBB met en place le plateau sportif en fonction des compétitions Européennes ou Mondiales à venir. Pour cette 10ème édition, j'ai eu l'occasion de collaborer très étroitement avec Jacky COMMERES, le directeur des Equipes de France. Je lui ai exposé l'envie de voir évoluer notre tournoi pour cette 10ème édition et lui ai demandé de voir si on pouvait avoir la catégorie U20. Il a accepté et c'est lui qui nous a proposé, avec l'entraîneur de cette équipe de France Jérôme FOURNIER, la possibilité d'avoir l'Australie. On peut dire maintenant que nous avons failli aussi avoir aussi les États-Unis mais ils se sont retirés par rapport au coût du voyage.
Pour le financement de ce tournoi, nous avons une aide de la Ville de Nice de 15.000 € et du Département des Alpes-Maritimes de 5.000 €. En interne nous arriverons normalement à générer entre 3 et 5000 €. Avec cela, nous essayons de gérer au plus juste l'organisation complète du tournoi : hôtel, repas, transports… D’une manière générale, l'organisation est complètement structurée sur le bénévolat puisqu’outre les 60 bénévoles des clubs niçois jusqu'à maintenant arbitres, OTM et statisticiens ont été toujours admirables en ne facturant rien à notre association. C'est un véritable tournoi du cœur qui n'existe nulle part ailleurs et c'est aussi cela cette magie du Laure-Ecard. On peut dire aussi que depuis 10 ans la FFBB, grâce à l'organisation de cet événement, a économisé près de 250.000 € investis par notre organisation sur ce tournoi de haut niveau pour les Equipes de France de jeunes filles. Les dirigeants des clubs niçois sont aussi fiers aussi de cet investissement pour le basket national féminin et local.
L'UNSBB (Union des sociétés niçoises de basket) qui est une association loi 1901 qui a en charge depuis de très nombreuses années la coordination des associations de basket de Nice puisque la ville a toujours eu entre 8 et 10 équipes de basket, soit près de 1.500 licenciés. J’en ai été effectivement le Président pendant près de 20 ans. Après le terrible accident de 2008, le maire de Nice Christian ESTROSI et son adjoint aux sports Gilles VEISSIERE m'ont demandé, au titre de l'Union, de réfléchir à organiser un moment de mémoire pour Laure. Nous avons donc créé ce merveilleux tournoi qui fête sa 10ème édition cette année. Le Département 06 avec ses présidents successifs Eric CIOTTI et maintenant Charles-Ange GINESY nous accompagnent également.
Depuis 2 ans j’ai laissé la présidence à un jeune dirigeant, Yanis SKAKIC, fils de l'ancien joueur croate qui a joué à l'époque en première division au Nice UC et à Monaco et actuel président de l'Eveil de Nice. Je suis resté vice-président pour continuer accompagner les dirigeants de l'UNSBB sur ce merveilleux tournoi. Avec Yann, il y a une deuxième cheville ouvrière, la secrétaire générale Françoise GENOVESI, ancienne joueuse du Cavigal et ex-directrice du Centre de Formation du Cavigal sous l'ère Louis BACCHIALONI. L'ensemble des présidents des clubs niçois est également totalement impliqué avec leurs dirigeants, leurs bénévoles et leurs licenciés. Je ne veux pas oublier également le trésorier de l'association Joël MARTEAU du CTBB. Dernier point, il faut savoir que les parents de Laure, Sylvie et Jean-François, sont consultés et impliqués sur toutes les décisions que nous prenons sur l’organisation de ce Tournoi.
• Peux-tu nous préciser également ton rôle à titre personnel ?
Mon rôle cette année a été de me mettre un peu moins en 1ere ligne. Mes fonctions de président du CDOS 06 depuis 5 ans me prennent beaucoup de temps et d'énergie mais ce Tournoi reste pour moi un moment merveilleux de générosité. Yann et Françoise sont avec Joël beaucoup plus en prise directe sur la gestion de l’événement cette année.
• A quelle époque de l’année la machine se met-elle en marche ?
Depuis 2 ans nous commençons à être moins dans le stress qu'au début en commençant à réfléchir à partir de novembre-décembre, ce qui nous laisse beaucoup plus de temps pour l'organisation sans nous mettre dans un stress usant.
• Je crois que la Fédération vous aide beaucoup pour le plateau sportif mais dans l’organisation en général, qu’est-ce qui est le plus difficile à maîtriser ?
La FFBB met en place le plateau sportif en fonction des compétitions Européennes ou Mondiales à venir. Pour cette 10ème édition, j'ai eu l'occasion de collaborer très étroitement avec Jacky COMMERES, le directeur des Equipes de France. Je lui ai exposé l'envie de voir évoluer notre tournoi pour cette 10ème édition et lui ai demandé de voir si on pouvait avoir la catégorie U20. Il a accepté et c'est lui qui nous a proposé, avec l'entraîneur de cette équipe de France Jérôme FOURNIER, la possibilité d'avoir l'Australie. On peut dire maintenant que nous avons failli aussi avoir aussi les États-Unis mais ils se sont retirés par rapport au coût du voyage.
Pour le financement de ce tournoi, nous avons une aide de la Ville de Nice de 15.000 € et du Département des Alpes-Maritimes de 5.000 €. En interne nous arriverons normalement à générer entre 3 et 5000 €. Avec cela, nous essayons de gérer au plus juste l'organisation complète du tournoi : hôtel, repas, transports… D’une manière générale, l'organisation est complètement structurée sur le bénévolat puisqu’outre les 60 bénévoles des clubs niçois jusqu'à maintenant arbitres, OTM et statisticiens ont été toujours admirables en ne facturant rien à notre association. C'est un véritable tournoi du cœur qui n'existe nulle part ailleurs et c'est aussi cela cette magie du Laure-Ecard. On peut dire aussi que depuis 10 ans la FFBB, grâce à l'organisation de cet événement, a économisé près de 250.000 € investis par notre organisation sur ce tournoi de haut niveau pour les Equipes de France de jeunes filles. Les dirigeants des clubs niçois sont aussi fiers aussi de cet investissement pour le basket national féminin et local.
Une édition relevée, la découverte des joueuses de demain et des histoires de glaçons...
• A ce titre, l’édition 2019 s’annonce doublement inédite avec la catégorie U20 et la participation de l’Australie. Est-ce que cela vous demande des efforts particuliers supplémentaires par rapport aux autres années ?
Concernant les frais supplémentaires. oui cette année la catégorie U20 nous oblige à mettre les joueuses dans des hôtels 3/4 étoiles. Mais cela est normal : ce sont des professionnelles. La Ville de Nice met également ses installations sportives à la disposition des équipes qui ont choisi d’arriver plus tôt pour un stage, à partir du 5 juillet pour l’Australie et du 8 juillet pour la France. C’est aussi une opportunité pour l'économie locale de voir deux équipes nationales venir à Nice.
• Sur les éditions précédentes, quel serait ton meilleur souvenir de ce Tournoi ?
Le meilleur souvenir du Tournoi, c'est à chaque fois les larmes et les sourires des joueuses lorsqu’elles prennent dans les bras les parents de Laure et maintenant sa petite sœur Johanna. Il y a tellement d'émotion dans ces moments-là… Le Laure-Ecard est un tournoi qui n'existe nulle part ailleurs. il transpire la beauté du cœur, celle de l'amour avec une jeune fille qui nous donne la direction à suivre avec des valeurs de partage et d'amitié.
• Y a-t-il une joueuse que tu aies découverte lors de ces éditions et dont tu te souviennes particulièrement ?
Concernant les Françaises je pense que Valériane AYAYI, Olivia EPOUPA et Iliana RUPERT ont marqué de leur empreinte le Tournoi. Mais je crois celle qui l’a le plus éclaboussé de son talent puisqu'elle est venue 2 ans d'affilée c'est la russe Raina MUSINA qui pour moi est l'une des meilleures joueuses de basket au monde aujourd'hui.
• Aurais-tu une petite anecdote à nous raconter ?
La chasse aux glaçons ! Chaque année il faut de plus en plus de glaçons mais je me rappelle que la 2ème année du Tournoi un des kinés de l'équipe de France nous a complètement pollué le tournoi en nous demandant des centaines de kilos de glaçons pour mettre les Filles dans des bacs pour la récupération ! Il a fallu aussi trouver des poubelles propres de 300 litres à la ville de Nice pour les mettre dedans. Mais l'organisation avait été mise à mal par la chasse aux glaçons
Concernant les frais supplémentaires. oui cette année la catégorie U20 nous oblige à mettre les joueuses dans des hôtels 3/4 étoiles. Mais cela est normal : ce sont des professionnelles. La Ville de Nice met également ses installations sportives à la disposition des équipes qui ont choisi d’arriver plus tôt pour un stage, à partir du 5 juillet pour l’Australie et du 8 juillet pour la France. C’est aussi une opportunité pour l'économie locale de voir deux équipes nationales venir à Nice.
• Sur les éditions précédentes, quel serait ton meilleur souvenir de ce Tournoi ?
Le meilleur souvenir du Tournoi, c'est à chaque fois les larmes et les sourires des joueuses lorsqu’elles prennent dans les bras les parents de Laure et maintenant sa petite sœur Johanna. Il y a tellement d'émotion dans ces moments-là… Le Laure-Ecard est un tournoi qui n'existe nulle part ailleurs. il transpire la beauté du cœur, celle de l'amour avec une jeune fille qui nous donne la direction à suivre avec des valeurs de partage et d'amitié.
• Y a-t-il une joueuse que tu aies découverte lors de ces éditions et dont tu te souviennes particulièrement ?
Concernant les Françaises je pense que Valériane AYAYI, Olivia EPOUPA et Iliana RUPERT ont marqué de leur empreinte le Tournoi. Mais je crois celle qui l’a le plus éclaboussé de son talent puisqu'elle est venue 2 ans d'affilée c'est la russe Raina MUSINA qui pour moi est l'une des meilleures joueuses de basket au monde aujourd'hui.
• Aurais-tu une petite anecdote à nous raconter ?
La chasse aux glaçons ! Chaque année il faut de plus en plus de glaçons mais je me rappelle que la 2ème année du Tournoi un des kinés de l'équipe de France nous a complètement pollué le tournoi en nous demandant des centaines de kilos de glaçons pour mettre les Filles dans des bacs pour la récupération ! Il a fallu aussi trouver des poubelles propres de 300 litres à la ville de Nice pour les mettre dedans. Mais l'organisation avait été mise à mal par la chasse aux glaçons
L'affiche de l'édition 2019
Laure est partout, elle nous guide
• Cette année, c’est la 10ème édition du Laure-Ecard. Peux-tu nous rappeler quand et comment l’idée de ce Tournoi est-elle venue après la disparition de Laure ?
Lors de la fête réservée chaque année aux sportifs niçois qui s'appelle « les victoires du sport » et pour sa première année de mandature, le maire de Nice Christian ESTROSI m'a fait venir sur scène au Palais Acropolis avec Gilles VESSIERE son adjoint aux sports. Ils m'ont remis le Trophée Laure-Ecard en me demandant de mettre en place quelque chose en faveur de Laure. Dans ma tête, j'avais l'idée et l'envie de faire cela au travers d'un tournoi international de jeunes filles. Voilà comment tout a commencé…
• Les parents de Laure ont-ils tout de suite accepté ?
Sylvie et Jean-François sont effectivement sont à nos côtés depuis le premier jour et rien ne se fait sans les interpeller ou les questionner quand nous mettons notre Tournoi en place. Cerise sur le gâteau, les soirées-réunions chez les « Ecard » valent aussi un détour gastronomique puisque le papa de Laure est cuisinier !
• Quel est le sous-titre que tu pourrais donner à ce Tournoi ?
« Le Tournoi du cœur et des sourires »
• 10 ans c’est un joli chiffre mais ça peut être aussi un âge charnière. Vous posez-vous la question chaque année, allez-vous vous la poser tout particulièrement cet automne ou bien les 11èmes, 12èmes, 13èmes éditions et suivantes sont-elles déjà inconsciemment dans les têtes ?
10 ans c’est effectivement un cap. Je crois que c'est avec le président SKAKIC et les parents de Laure qu'il faudra réfléchir sur les contours du futur, en y associant également la Ville de Nice, le Département 06 et les clubs. Moi je pense que, au-delà de la partie souvenir, si cette organisation reste le moyen d’un moment de cohésion, de partage, de fraternité entre les clubs et leurs dirigeants il faut se donner encore 10 ans pour continuer à vivre ces belles émotions. Par contre, il faudra aussi réfléchir sur le côté budgétaire puisque l'UNSBB porte complètement cette organisation. Depuis le début il me paraît difficile d’en augmenter le niveau sans trouver de nouveaux partenaires, comme par exemple la FFBB ou la Ligue Paca.
• Quelle est la question que je ne t’ai pas posée et à laquelle tu aurais aimé répondre ?
Pas de question particulière mais juste l’envie de dire combien je suis heureux de continuer chaque année à faire vivre la mémoire de Laure avec des femmes et des hommes qui ont su se rassembler autour de Sylvie, Jean François et Johanna ECARD. C'est tout simplement la magie de ce Tournoi. Laure est partout, elle nous guide, nous donne la force à nous les dirigeants mais surtout à toutes ces jeunes filles basketteuses. Chaque année on ressort du Laure-Ecard avec plus de forces pour affronter sa vie sportive mais aussi celle de tous les instants.
Lors de la fête réservée chaque année aux sportifs niçois qui s'appelle « les victoires du sport » et pour sa première année de mandature, le maire de Nice Christian ESTROSI m'a fait venir sur scène au Palais Acropolis avec Gilles VESSIERE son adjoint aux sports. Ils m'ont remis le Trophée Laure-Ecard en me demandant de mettre en place quelque chose en faveur de Laure. Dans ma tête, j'avais l'idée et l'envie de faire cela au travers d'un tournoi international de jeunes filles. Voilà comment tout a commencé…
• Les parents de Laure ont-ils tout de suite accepté ?
Sylvie et Jean-François sont effectivement sont à nos côtés depuis le premier jour et rien ne se fait sans les interpeller ou les questionner quand nous mettons notre Tournoi en place. Cerise sur le gâteau, les soirées-réunions chez les « Ecard » valent aussi un détour gastronomique puisque le papa de Laure est cuisinier !
• Quel est le sous-titre que tu pourrais donner à ce Tournoi ?
« Le Tournoi du cœur et des sourires »
• 10 ans c’est un joli chiffre mais ça peut être aussi un âge charnière. Vous posez-vous la question chaque année, allez-vous vous la poser tout particulièrement cet automne ou bien les 11èmes, 12èmes, 13èmes éditions et suivantes sont-elles déjà inconsciemment dans les têtes ?
10 ans c’est effectivement un cap. Je crois que c'est avec le président SKAKIC et les parents de Laure qu'il faudra réfléchir sur les contours du futur, en y associant également la Ville de Nice, le Département 06 et les clubs. Moi je pense que, au-delà de la partie souvenir, si cette organisation reste le moyen d’un moment de cohésion, de partage, de fraternité entre les clubs et leurs dirigeants il faut se donner encore 10 ans pour continuer à vivre ces belles émotions. Par contre, il faudra aussi réfléchir sur le côté budgétaire puisque l'UNSBB porte complètement cette organisation. Depuis le début il me paraît difficile d’en augmenter le niveau sans trouver de nouveaux partenaires, comme par exemple la FFBB ou la Ligue Paca.
• Quelle est la question que je ne t’ai pas posée et à laquelle tu aurais aimé répondre ?
Pas de question particulière mais juste l’envie de dire combien je suis heureux de continuer chaque année à faire vivre la mémoire de Laure avec des femmes et des hommes qui ont su se rassembler autour de Sylvie, Jean François et Johanna ECARD. C'est tout simplement la magie de ce Tournoi. Laure est partout, elle nous guide, nous donne la force à nous les dirigeants mais surtout à toutes ces jeunes filles basketteuses. Chaque année on ressort du Laure-Ecard avec plus de forces pour affronter sa vie sportive mais aussi celle de tous les instants.
Un superbe Tournoi en effet Philippe et une superbe édition-anniversaire en perspective avec une fois de plus l'occasion de penser à Laure et ses copines...
Vivement la semaine prochaine !
Vivement la semaine prochaine !