ACCUEIL
Tout d'abord, une petite mise au point puisqu'il semblerait que certains de mes propos aient été mal interprétés: quand je critique, et Dieu sait que je critique, les décisions du Président et du club, ce n'est pas l'homme que je juge puisque je ne le connais pas, mais le Président dans sa fonction. Il ne faut donc surtout pas y voir d'attaques personnelles.
Venons-en ensuite au match... Que dire...
Tout commence par un horrible 0-6. Échecs au tir, balles perdues, rebonds absents: premier temps-mort posé par Valéry DEMORY au bout de 2'30. L'effet est immédiat puisque le BLMA recolle à 6-6 par POTO derrière la ligne, SKRELA et un lancer de RAVEN. Mais l'absence de jeu se fait nettement ressentir et Toulouse, notamment par Chandrea JONES, reprend la tête: 6-10, 11-14 puis 16-20 à la 10ème. Le BLMA peut remercier Jessie DE COLO de précipiter ses deux tirs de loin et Alicia POTO de réussir, faute de passes décisives, un 3/3 derrière la ligne car sans cela, ce n'est pas un débours de 4 unités qu'il accuserait à cet instant mais au moins le double!
La preuve? Deux nouveaux paniers signés DOWDELL portent la marque à 16-24 et le déficit à -8. On notera à cet instant que le TMB évolue avec DE COLO, 20 ans, DE ANGELIS, pas 17 ans et MATANGA sur le terrain, pas 20 ans non plus... Iva PEROVANOVIC traverse alors un bon moment: 6 points qui, ajoutés à ceux d'une RAVEN à 1/6, ramène les locales à 23-24. La fin de la période sera plus compliquée pour les toulousaines qui cèdent peu à peu du terrain, sans doute en grande partie physiquement: 15-5 et 38-29 à la mi-temps. On ne se régale pas: la formation toulousaine affiche des limites qu'on ne lui a pas vues à Paris, la notre réédite à peu près la même performance que dimanche et une chose est certaine: il est anormal d'avoir concédé 29 points à la mi-temps dans ces conditions!
Venons-en ensuite au match... Que dire...
Tout commence par un horrible 0-6. Échecs au tir, balles perdues, rebonds absents: premier temps-mort posé par Valéry DEMORY au bout de 2'30. L'effet est immédiat puisque le BLMA recolle à 6-6 par POTO derrière la ligne, SKRELA et un lancer de RAVEN. Mais l'absence de jeu se fait nettement ressentir et Toulouse, notamment par Chandrea JONES, reprend la tête: 6-10, 11-14 puis 16-20 à la 10ème. Le BLMA peut remercier Jessie DE COLO de précipiter ses deux tirs de loin et Alicia POTO de réussir, faute de passes décisives, un 3/3 derrière la ligne car sans cela, ce n'est pas un débours de 4 unités qu'il accuserait à cet instant mais au moins le double!
La preuve? Deux nouveaux paniers signés DOWDELL portent la marque à 16-24 et le déficit à -8. On notera à cet instant que le TMB évolue avec DE COLO, 20 ans, DE ANGELIS, pas 17 ans et MATANGA sur le terrain, pas 20 ans non plus... Iva PEROVANOVIC traverse alors un bon moment: 6 points qui, ajoutés à ceux d'une RAVEN à 1/6, ramène les locales à 23-24. La fin de la période sera plus compliquée pour les toulousaines qui cèdent peu à peu du terrain, sans doute en grande partie physiquement: 15-5 et 38-29 à la mi-temps. On ne se régale pas: la formation toulousaine affiche des limites qu'on ne lui a pas vues à Paris, la notre réédite à peu près la même performance que dimanche et une chose est certaine: il est anormal d'avoir concédé 29 points à la mi-temps dans ces conditions!
Au retour des vestiaires, la défense se fait un peu plus pressante. Une défense haute en pressing qui sèche définitivement les Filles de la ville rose. Valérie GARNIER use Camille AUBERT jusqu'à la corde (18 minutes sur les 20 dernières), DE COLO est définitivement dans un jour "sans" (à 0/6) et l'écart se creuse: 41-29, 47-31 puis 57-37. La rencontre est désormais pliée.
Le dernier quart sera anecdotique (63-39, 69-44 et même 71-45), du moins jusqu'à la 34ème minute qui verra l'entrée en jeu de Cyrielle HUGUES et surtout la 37ème qui verra un trio d'imbéciles la rejoindre sur le terrain: Manon PELLET, Joh DROZD et Mathilde HERGOTT. A cet instant, Sandra DIJON, en tant que doyenne, chaperonne l'ensemble! Toulouse profite de quelques erreurs de jeunesse pour revenir à 71-51, mais c'est Johanne DROZD, me semble-t-il sur un service de Manon PELLET, qui clôture la marque, déflorant ainsi son compteur personnel en LFB.
Le malade est encore vivant, mais convalescent...
BLMA 73 - Toulouse 51 (16-20, 22-9, 19-10 et 16-12)
Le dernier quart sera anecdotique (63-39, 69-44 et même 71-45), du moins jusqu'à la 34ème minute qui verra l'entrée en jeu de Cyrielle HUGUES et surtout la 37ème qui verra un trio d'imbéciles la rejoindre sur le terrain: Manon PELLET, Joh DROZD et Mathilde HERGOTT. A cet instant, Sandra DIJON, en tant que doyenne, chaperonne l'ensemble! Toulouse profite de quelques erreurs de jeunesse pour revenir à 71-51, mais c'est Johanne DROZD, me semble-t-il sur un service de Manon PELLET, qui clôture la marque, déflorant ainsi son compteur personnel en LFB.
Le malade est encore vivant, mais convalescent...
BLMA 73 - Toulouse 51 (16-20, 22-9, 19-10 et 16-12)
Accueil
Envoyer à un ami
Imprimer l'article
