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France 69 - Grèce 55 (20-12, 20-11, 11-17 et 18-15)
Le match contre le Sénégal étant considéré avant la compétition comme gagné d'office et celui contre les USA perdu d'office, il est impératif de battre ce soir la Grèce afin de ne pas commencer le second tour sans aucun point. Au supporteromètre, le match est déjà gagné!
Le "5" de départ est composé de DUMERC, LEPRON, NDONGUE , JANNAULT et MIYEM. Pauline JANNAULT ouvre la marque après un échec initial de LEPRON qui avait pourtant mystifié MALTSI. MIYEM trouve la faille et enchaine deux réussites (3+2) qui, conjuguées à celle qui suit d'une DUMERC partie seule en contre-attaque porte la marque à 9-0, 3ème. Comment rêver d'un meilleur début? Le temps-mort grec est mis à profit par PAPAMICHAIL qui ouvre le compteur de son pays et récidive elle aussi (9-4). A 14-6 (7ème), Pierre VINCENT fait rentrer BEIKES et LARDY (ce qui rassure tout le monde sur sa blessure à la main). C'est d'ailleurs sur un panier primé de la meneuse berruyère que l'écart atteint son maximum et la barre des 10 points. Les grecques cumulent déjà 5 fautes d'équipe contre seulement 1 pour les tricolores. Clémence BEIKES clôture la période et permet aux Bleues de mener 20-12.
Mais attention à ne pas s'endormir, ça revient fort: 0-4 d'entrée et retour de Céline DUMERC aux commandes. La machine de guerre MALTSI, discrète jusque là, marque son premier panier puis son second pour un retour à 22-20, 12ème. KALTSIDOU a même le lay-up de l'égalisation mais elle échoue. MALTSI, elle, ne se le fait pas dire deux fois et convertit sa première occasion, seule sous le cercle (22-22). Les lancers permettent de traverser ce temps faible avec un moindre mal (3/4), le temps pour tout le monde de reprendre ses esprits et pour Cap's DUMERC de délivrer un caviar pour NDONGUE (29-22). Ouf! On respire mieux! L'écart est remonté à son plus haut: +16 à 38-22, 19ème, DIGBEU ayant converti sa réussite derrière l'arc. La mi-temps est atteinte sur la marque de 40-23 et un nouveau "plus haut" à +17.
Le match contre le Sénégal étant considéré avant la compétition comme gagné d'office et celui contre les USA perdu d'office, il est impératif de battre ce soir la Grèce afin de ne pas commencer le second tour sans aucun point. Au supporteromètre, le match est déjà gagné!
Le "5" de départ est composé de DUMERC, LEPRON, NDONGUE , JANNAULT et MIYEM. Pauline JANNAULT ouvre la marque après un échec initial de LEPRON qui avait pourtant mystifié MALTSI. MIYEM trouve la faille et enchaine deux réussites (3+2) qui, conjuguées à celle qui suit d'une DUMERC partie seule en contre-attaque porte la marque à 9-0, 3ème. Comment rêver d'un meilleur début? Le temps-mort grec est mis à profit par PAPAMICHAIL qui ouvre le compteur de son pays et récidive elle aussi (9-4). A 14-6 (7ème), Pierre VINCENT fait rentrer BEIKES et LARDY (ce qui rassure tout le monde sur sa blessure à la main). C'est d'ailleurs sur un panier primé de la meneuse berruyère que l'écart atteint son maximum et la barre des 10 points. Les grecques cumulent déjà 5 fautes d'équipe contre seulement 1 pour les tricolores. Clémence BEIKES clôture la période et permet aux Bleues de mener 20-12.
Mais attention à ne pas s'endormir, ça revient fort: 0-4 d'entrée et retour de Céline DUMERC aux commandes. La machine de guerre MALTSI, discrète jusque là, marque son premier panier puis son second pour un retour à 22-20, 12ème. KALTSIDOU a même le lay-up de l'égalisation mais elle échoue. MALTSI, elle, ne se le fait pas dire deux fois et convertit sa première occasion, seule sous le cercle (22-22). Les lancers permettent de traverser ce temps faible avec un moindre mal (3/4), le temps pour tout le monde de reprendre ses esprits et pour Cap's DUMERC de délivrer un caviar pour NDONGUE (29-22). Ouf! On respire mieux! L'écart est remonté à son plus haut: +16 à 38-22, 19ème, DIGBEU ayant converti sa réussite derrière l'arc. La mi-temps est atteinte sur la marque de 40-23 et un nouveau "plus haut" à +17.
Les supporters de l'Equipe de France n'oublient pas les absentes
Une nouvelle fois après la rencontre USA - Sénégal, les statistiques de mi-temps arrivent erronées au niveau des points. Bigdudu revient, ils ne savent pas faire sans toi! Le % de réussite, lui, n'a guère évolué: après avoir tourné à 29% de réussite pendant 10 minute, les Bleues d'un jour ne parviennent pas à redresses la barre et sont maintenant à 32%. Et comme malgré cela le rebond est dominé par NDONGUE avec 6 prises, cela laisse finalement peu d'opportunités de marquer.
La reprise est assez équilibrée et donc toujours à l'avantage des françaises. Grâce à une impeccable MIYEM entre autre, l'écart ne descend pas sous la barre des 12 points (46-34). Ou plutôt des 11 puisque sur deux derniers lancers consécutifs à une succession d'actions confuses, la néo-aixoise Zoi DIMITRAKOU ramène le score à 50-41.
Il y a même danger un court instant sous la barre des +9, mais Emmeline NDONGUE, bien que s'y reprenant à deux fois, reprend les distances (53-42). Une interception de PAPAMICHAIL lançant KALTSIDOU permet aux grecques de revenir à -8: 55-47. La partie se tend légèrement sur quelques décisions ou non décisions d'arbitrage et la question peut être posée: après avoir mené tout le matche et parfois largement, les Bleues résisteront-elles à la pression du retour de leur adversaire? La réponse est oui! La France obtient des fautes, récupère parfois le ballon sur un lancer non converti et reprend finalement ses 15 unités d'avance: 63-48 à 3'30 de l'arrivée. Et même si le dernier panier est marqué par les grecques, on retiendra le précédent marqué par les françaises à l'issue d'un mouvement "à la brésilienne".
La France s'impose finalement plus facilement que prévu dans cette rencontre, sans jamais avoir été menée au score et avec une répartition de la marque très intéressante.
La reprise est assez équilibrée et donc toujours à l'avantage des françaises. Grâce à une impeccable MIYEM entre autre, l'écart ne descend pas sous la barre des 12 points (46-34). Ou plutôt des 11 puisque sur deux derniers lancers consécutifs à une succession d'actions confuses, la néo-aixoise Zoi DIMITRAKOU ramène le score à 50-41.
Il y a même danger un court instant sous la barre des +9, mais Emmeline NDONGUE, bien que s'y reprenant à deux fois, reprend les distances (53-42). Une interception de PAPAMICHAIL lançant KALTSIDOU permet aux grecques de revenir à -8: 55-47. La partie se tend légèrement sur quelques décisions ou non décisions d'arbitrage et la question peut être posée: après avoir mené tout le matche et parfois largement, les Bleues résisteront-elles à la pression du retour de leur adversaire? La réponse est oui! La France obtient des fautes, récupère parfois le ballon sur un lancer non converti et reprend finalement ses 15 unités d'avance: 63-48 à 3'30 de l'arrivée. Et même si le dernier panier est marqué par les grecques, on retiendra le précédent marqué par les françaises à l'issue d'un mouvement "à la brésilienne".
La France s'impose finalement plus facilement que prévu dans cette rencontre, sans jamais avoir été menée au score et avec une répartition de la marque très intéressante.
Chine - Canada (23-18, 14-12, 13-22 et 11-13)
Match à double facette que cette confrontation entre Chine et Canada. Mise rapidement dans le bon sens par sa star Lijie MIAO (11 points en 10 minutes et 16 à la mi-temps), la Chine semble se diriger tout droit vers une victoire aisée. Mais grâce à un troisième quart impeccable ou presque signé principalement Tamara TATHAM (3/3 + 3 rebonds), le Canada efface son handicap avant de prendre plusieurs fois l'avantage, y compris à la 30ème (50-52). Le dernier quart est tout à l'avantage des représentantes du continent américain chez qui Kimberley SMITH fait étal de tout son talent. Le Canada l'emporte finalement 65-61 devant ses nombreux et bruyants supporters! Les larmes de Nan CHEN n'y changeront maintenant plus rien.
Australie 83 - Biélorussie 59 (24-21, 18-11, 13-11 et 28-16)
Les Aussies ont été sacrément secouées pendant 9 minutes par leurs hôtes d'un jour. Et si elles parviennent finalement à repasser en tête, c'est toujours de très peu. Il faut attendre 2 lancers de Kristi HARROWER à la 15ème pour que la marge dépasse les 5 unités (35-30). Mais petit à petit, les troupes de l'hémisphère Sud prennent leurs distances et l'écart atteint +10 à l'heure de faire la pause... Les biélorusses sont sur le point de rupture après avoir manqué 3 ou 4 attaques ou contre-attaques plutôt faciles. Heureusement que Tatyana TROINA maintient l'espoir deux fois consécutivement derrière la ligne. Las! Largement dominées au rebond malgré une adresse en berne (37% à la 30ème), les joueuses d'Anatoli BUYALSKI doivent s'incliner lourdement.
USA 108 - Sénégal 52 (30-11, 28-14, 28-11 et 22-16
Un "cinq" pour commencer (FOWLES, BIRD, TAURASI, CASH et CATCHINGS) puis un autre après 5 minutes de jeu et déjà +15. Le match baisse nettement d'intensité au second quart. Diana TAURASI est aux abonnés absents ou presque avec 8 points seulement à et déjà 3 fautes personnelles. La rencontre a tellement peu d'intérêt (96-36 à la 30ème) que même les statisticiens s'emmêlent et nous sortent une feuille de stats marquée 86-36! Dans le même genre, Geno AURIEMMA ne réagit guère au 0-10 concédé au retour sur le parquet. Tout juste consent-il à faire revenir sur le terrain Sue BIRD pour épauler l'équipe "bis" chargée jusque là de taffer pour la fin de la rencontre...
Match à double facette que cette confrontation entre Chine et Canada. Mise rapidement dans le bon sens par sa star Lijie MIAO (11 points en 10 minutes et 16 à la mi-temps), la Chine semble se diriger tout droit vers une victoire aisée. Mais grâce à un troisième quart impeccable ou presque signé principalement Tamara TATHAM (3/3 + 3 rebonds), le Canada efface son handicap avant de prendre plusieurs fois l'avantage, y compris à la 30ème (50-52). Le dernier quart est tout à l'avantage des représentantes du continent américain chez qui Kimberley SMITH fait étal de tout son talent. Le Canada l'emporte finalement 65-61 devant ses nombreux et bruyants supporters! Les larmes de Nan CHEN n'y changeront maintenant plus rien.
Australie 83 - Biélorussie 59 (24-21, 18-11, 13-11 et 28-16)
Les Aussies ont été sacrément secouées pendant 9 minutes par leurs hôtes d'un jour. Et si elles parviennent finalement à repasser en tête, c'est toujours de très peu. Il faut attendre 2 lancers de Kristi HARROWER à la 15ème pour que la marge dépasse les 5 unités (35-30). Mais petit à petit, les troupes de l'hémisphère Sud prennent leurs distances et l'écart atteint +10 à l'heure de faire la pause... Les biélorusses sont sur le point de rupture après avoir manqué 3 ou 4 attaques ou contre-attaques plutôt faciles. Heureusement que Tatyana TROINA maintient l'espoir deux fois consécutivement derrière la ligne. Las! Largement dominées au rebond malgré une adresse en berne (37% à la 30ème), les joueuses d'Anatoli BUYALSKI doivent s'incliner lourdement.
USA 108 - Sénégal 52 (30-11, 28-14, 28-11 et 22-16
Un "cinq" pour commencer (FOWLES, BIRD, TAURASI, CASH et CATCHINGS) puis un autre après 5 minutes de jeu et déjà +15. Le match baisse nettement d'intensité au second quart. Diana TAURASI est aux abonnés absents ou presque avec 8 points seulement à et déjà 3 fautes personnelles. La rencontre a tellement peu d'intérêt (96-36 à la 30ème) que même les statisticiens s'emmêlent et nous sortent une feuille de stats marquée 86-36! Dans le même genre, Geno AURIEMMA ne réagit guère au 0-10 concédé au retour sur le parquet. Tout juste consent-il à faire revenir sur le terrain Sue BIRD pour épauler l'équipe "bis" chargée jusque là de taffer pour la fin de la rencontre...
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