A l'occasion des Jeux Paralympiques de Tokyo, nous poursuivons notre découverte du basket-fauteuil. Après le sélectionneur Frédéric GUYOT (lire par ici...), c'est au tour de Lisa CLARY, jeune internationale tricolore, d'évoquer son sport.
Etre prête pour les prochains Jeux !
• Lisa bonjour et merci de ton accueil. Peux-tu te présenter et tu nous raconter ton histoire personnelle en quelques mots ?
Bonjour ! Alors je m’appelle Lisa CLARY, j’ai 23 ans et je suis en fauteuil roulant suite à plusieurs tumeurs à la moelle épinière (à 2 ans, 3 ans et 13 ans). Je suis en Master 2 de Recherche en Sciences de l’Education et je souhaite par la suite exercer le métier de professeur des écoles.
• Tu succèdes ici au sectionneur Frédéric GUYOT pour faire découvrir le basket-fauteuil à nos lecteurs. Son argument était qu’il s’agit d’un « sport qui allie physique, technique et mental ». Et toi, que dirais-tu pour convaincre quelqu’un de s’intéresser à ton sport ?
C’est comme l’a dit Frédéric, c'est un sport qui allie ces trois aspects mais c'est aussi un sport collectif. On partage la victoire ou la défaite avec ses coéquipières et c’est pour moi une des raisons qui m’a poussée à faire ce sport : l’esprit d’équipe.
• Tu n’es arrivée au basket qu’à 17 ans alors que tu es issue d’une famille de basketteurs. As-tu pratiqué d’autres sports en fauteuil avant ?
Oui je fais aussi du handi-ski, surtout pendant les vacances d’hiver avec ma famille ! Sinon j’ai découvert le basket-fauteuil assez tard car je ne trouvais pas de club près de chez moi. C’est en faisant mes courses qu’un joueur de l’équipe de Montpellier m’a abordée pour m’inviter à venir à leurs entraînements.
• Tu es maintenant internationale. Combien comptes-tu de sélections ?
Un championnat d’Europe avec l’équipe A et un championnat d’Europe avec l’équipe Féminine Espoirs. Mon premier stage était en 2017.
• Te souviens-tu de la première ?
Oui et d'ailleurs je ne m’attendais pas du tout à être appelée. C’était vraiment une belle expérience et j’ai découvert une super équipe avec les Filles.
• Tu joues au poste de meneuse. Chez les « valides », on insisterait sur la nécessité d’avoir une bonne vision du jeu. Mais chez les « handis », tu dis qu’il faut aussi un très bon maniement du fauteuil. Dans les entraînements, y-a-til des séquences spécifiques sans ballon pour cela ?
Bien sûr. Dans mon club à Chalon nous avons la possibilité de nous entrainer tous les midis (en plus du soir) donc souvent nous avons des entrainements individualisés pour le maniement du fauteuil, le shoot, les dribbles, les blocks, tout ce dont nous avons besoin pour progresser.
• Combien as-tu de fauteuils ? Est-ce le même pour le civil que pour la compétition ?
J’ai deux fauteuils, un quotidien que j’utilise dans la vie de tous les jours et un pour le basket ! Ce ne sont pas du tout les mêmes fauteuils puisqu'ils n’ont pas la même utilité. Celui de basket a des roues inclinées mais aussi un parechoc à l’avant afin de pouvoir encaisser les chocs. Il est vraiment adapté pour la pratique du basket-fauteuil.
• Evoquons les JO Paralympiques de Tokyo. L’Equipe de France féminine n’est pas de la partie pour avoir terminé 5ème du Championnat d’Europe alors que seules les 4 premières équipes étaient qualifiées. Le résultat est-il logique sportivement ou s’agit-il d’une grosse déception ?
Nous n’avons pas réussi à nous hisser parmi les 4 places qualificatives lors du dernier championnat. Nous avons forcément été déçues car c’est ce que l’on visait. Mais nous ne pouvons pas changer le passé donc maintenant nous donnons le maximum pour être prêtes dès les prochaines échéances !
• Du coup, tu zappes ou tu vas tout de même te passionner pour les épreuves de basket et tout regarder ?
Je ne zappe pas du tout ! J’adore regarder les Jeux, que cela soit du basket (que je regarde aussi en replay) ou d'autres disciplines, olympiques ou paralympiques !
• Tokyo 2020, ce sera donc dans ton salon : on oublie. On imagine maintenant que ton regard est d’ores et déjà tourné vers Paris 2024. Tu y seras ?
Même si nous ne sommes pas qualifiées pour Tokyo, je ne suis pas vraiment dans mon salon non plus puisque je travaille déjà en m’entraînant tous les jours afin d’être prête pour les prochains Jeux où l’objectif est d’avoir l’équipe la plus compétitive possible
• Je crois d’ailleurs que tu as déménagé à Chalon pour cela. Que vas-tu y trouver que tu n’avais pas avant ?
J’ai déménagé à Chalon pour la quantité d’entrainement. En sortant du pôle France de Talence, je souhaitais m’entrainer encore plus que ce que je faisais déjà tout en progressant. C'est ce que j’ai trouvé avec l’Elan Chalon.
• Le championnat de France est mixte et même sans connaître les rosters des équipes engagées, je suis prêt à parier que la place réservée aux Filles est très limitée. N’est-ce pas un gros handicap pour progresser ?
Ce n’est pas un handicap. Au contraire, cela donne encore plus envie de se surpasser afin d’être au niveau !
• A titre personnel, quel est le point sur lequel tu devras le plus travailler ?
Mon maniement du fauteuil
Bonjour ! Alors je m’appelle Lisa CLARY, j’ai 23 ans et je suis en fauteuil roulant suite à plusieurs tumeurs à la moelle épinière (à 2 ans, 3 ans et 13 ans). Je suis en Master 2 de Recherche en Sciences de l’Education et je souhaite par la suite exercer le métier de professeur des écoles.
• Tu succèdes ici au sectionneur Frédéric GUYOT pour faire découvrir le basket-fauteuil à nos lecteurs. Son argument était qu’il s’agit d’un « sport qui allie physique, technique et mental ». Et toi, que dirais-tu pour convaincre quelqu’un de s’intéresser à ton sport ?
C’est comme l’a dit Frédéric, c'est un sport qui allie ces trois aspects mais c'est aussi un sport collectif. On partage la victoire ou la défaite avec ses coéquipières et c’est pour moi une des raisons qui m’a poussée à faire ce sport : l’esprit d’équipe.
• Tu n’es arrivée au basket qu’à 17 ans alors que tu es issue d’une famille de basketteurs. As-tu pratiqué d’autres sports en fauteuil avant ?
Oui je fais aussi du handi-ski, surtout pendant les vacances d’hiver avec ma famille ! Sinon j’ai découvert le basket-fauteuil assez tard car je ne trouvais pas de club près de chez moi. C’est en faisant mes courses qu’un joueur de l’équipe de Montpellier m’a abordée pour m’inviter à venir à leurs entraînements.
• Tu es maintenant internationale. Combien comptes-tu de sélections ?
Un championnat d’Europe avec l’équipe A et un championnat d’Europe avec l’équipe Féminine Espoirs. Mon premier stage était en 2017.
• Te souviens-tu de la première ?
Oui et d'ailleurs je ne m’attendais pas du tout à être appelée. C’était vraiment une belle expérience et j’ai découvert une super équipe avec les Filles.
• Tu joues au poste de meneuse. Chez les « valides », on insisterait sur la nécessité d’avoir une bonne vision du jeu. Mais chez les « handis », tu dis qu’il faut aussi un très bon maniement du fauteuil. Dans les entraînements, y-a-til des séquences spécifiques sans ballon pour cela ?
Bien sûr. Dans mon club à Chalon nous avons la possibilité de nous entrainer tous les midis (en plus du soir) donc souvent nous avons des entrainements individualisés pour le maniement du fauteuil, le shoot, les dribbles, les blocks, tout ce dont nous avons besoin pour progresser.
• Combien as-tu de fauteuils ? Est-ce le même pour le civil que pour la compétition ?
J’ai deux fauteuils, un quotidien que j’utilise dans la vie de tous les jours et un pour le basket ! Ce ne sont pas du tout les mêmes fauteuils puisqu'ils n’ont pas la même utilité. Celui de basket a des roues inclinées mais aussi un parechoc à l’avant afin de pouvoir encaisser les chocs. Il est vraiment adapté pour la pratique du basket-fauteuil.
• Evoquons les JO Paralympiques de Tokyo. L’Equipe de France féminine n’est pas de la partie pour avoir terminé 5ème du Championnat d’Europe alors que seules les 4 premières équipes étaient qualifiées. Le résultat est-il logique sportivement ou s’agit-il d’une grosse déception ?
Nous n’avons pas réussi à nous hisser parmi les 4 places qualificatives lors du dernier championnat. Nous avons forcément été déçues car c’est ce que l’on visait. Mais nous ne pouvons pas changer le passé donc maintenant nous donnons le maximum pour être prêtes dès les prochaines échéances !
• Du coup, tu zappes ou tu vas tout de même te passionner pour les épreuves de basket et tout regarder ?
Je ne zappe pas du tout ! J’adore regarder les Jeux, que cela soit du basket (que je regarde aussi en replay) ou d'autres disciplines, olympiques ou paralympiques !
• Tokyo 2020, ce sera donc dans ton salon : on oublie. On imagine maintenant que ton regard est d’ores et déjà tourné vers Paris 2024. Tu y seras ?
Même si nous ne sommes pas qualifiées pour Tokyo, je ne suis pas vraiment dans mon salon non plus puisque je travaille déjà en m’entraînant tous les jours afin d’être prête pour les prochains Jeux où l’objectif est d’avoir l’équipe la plus compétitive possible
• Je crois d’ailleurs que tu as déménagé à Chalon pour cela. Que vas-tu y trouver que tu n’avais pas avant ?
J’ai déménagé à Chalon pour la quantité d’entrainement. En sortant du pôle France de Talence, je souhaitais m’entrainer encore plus que ce que je faisais déjà tout en progressant. C'est ce que j’ai trouvé avec l’Elan Chalon.
• Le championnat de France est mixte et même sans connaître les rosters des équipes engagées, je suis prêt à parier que la place réservée aux Filles est très limitée. N’est-ce pas un gros handicap pour progresser ?
Ce n’est pas un handicap. Au contraire, cela donne encore plus envie de se surpasser afin d’être au niveau !
• A titre personnel, quel est le point sur lequel tu devras le plus travailler ?
Mon maniement du fauteuil
Lisa CLARY en action sous le maillot tricolore (photo Régis Hazenfus)
L'objectif est de faire connaître le handisport
• Quelle importance le basket tient-t-il dans ta vie ?
Je ne dirais pas toute ma vie car mes études sont aussi très importantes. Mais importante, j’ai d'ailleurs fait des choix de vie pour pouvoir allier les deux.
• Arrives-tu à suivre des études ou à travailler en même temps ? Comment ta journée se décompose-t-elle ?
J’arrive effectivement à suivre des études mais depuis 3 ans je le fais à distance. Après avoir fait une licence en histoire à Bordeaux, j’ai décidé de m’orienter vers les sciences de l’éducation pour donc passer une L3, un Master 1 et maintenant je rentre en Master 2. Comme c’est à distance, je suis assez libre. Je n’ai pas de cours en visio, juste des cours en ligne et je peux ainsi assister à tous les entrainements.
• Une basketteuse en fauteuil peut-elle vivre de son sport ? As-tu des sponsors personnels ?
Actuellement non on ne peut pas vivre de son sport étant donné que le championnat français n’est pas professionnel mais amateur. Je n’ai pas non plus de sponsor personnel
• La moyenne d’âge des sélectionnées en Equipe de France Féminine aux Europe de 2019 est assez élevée : 6 joueuses de plus de 38 ans et seulement 3 de moins de 25 ans. C’est « génération Michel Sardou » contre « génération Wejdene » ou vous arrivez à gérer ce grand écart dans le groupe ?
La différence d’âge n’est pas un problème à gérer. On reste avant tout coéquipières et on s’entend très bien, l’ambiance est bonne au sein de l’équipe.
• Quand on est joueuse de basket fauteuil, quel regard porte-t-on sur le basket valide ? Avez-vous des relations entre Equipes de France ?
Je suis énormément l’équipe de France Féminine de basket valide mais j’essaie aussi de suivre l’équipe de Lattes/Montpellier d’où je suis originaire. Après, nous ne faisons pas nos stages aux mêmes endroits même si ça pourrait être génial !
• Les seuls matchs de basket fauteuil auxquels j’ai pu assister sont ceux qui étaient proposé à Toulouse en lever de rideau des matchs de Ligue 2 du TMB. Que peut-on faire pour rendre ce sport plus visible ?
Diffuser les matchs sur internet et montrer les rencontres les plus prestigieuses (ou des highlights) dans les journaux par exemple
• Dans le futur, pourrais-tu t’engager au niveau de la Fédération ou du Pôle France Jeunes pour faire en sorte que les personnes souffrant de handicap n’attendent pas 17, 18 ou 20 ans pour tenter leur chance dans le sport ?
Oui bien sûr si la possibilité se présente j’aimerais beaucoup aller à la recherche de potentiels sportifs ou sportives, peu importe le sport d’ailleurs. L’objectif est surtout de faire connaitre le handisport.
• Tu assumes et tu parles très librement de ton handicap. On imagine quand même que tu peux connaitre des coups de « moins bien ». Vers qui ou quoi te tournes-tu alors ?
Oui c’est vrai, le handicap n’est pas tabou pour moi et je le vis bien !
• Tu as aussi été Marraine de Handi’Com. Peut-être as-tu d’autres engagements auxquels tu tiens ? Est-ce important pour toi de t’engager et que penses-tu pouvoir apporter ?
C’est exact j’ai été marraine du Handi’Com sur Montpellier (2019 et 2020), je suis aussi ambassadrice de l’association montpelliéraine Espoir SLA qui récolte des fonds pour la recherche sur la maladie de Charcot. Je suis également impliquée dans les 24h de l’Institut Saint Pierre (centre de rééducation à Palavas-Les-Flots). J’aimerais montrer que l’on peut faire plein de choses malgré un handicap et aussi promouvoir le handisport. Soutenir des causes est très important pour moi.
• On termine par deux petites questions hors basket : un doudou, on objet fétiche, un porte-bonheur ?
Rien de tout ça pour moi !
• La soirée idéale ?
Un film et du pop-corn ou un livre et du thé, cela change du basket
• C’est la tradition dans mes interviews Lisa, je te laisse le dernier mot…
J’espère que vous serez nombreux et nombreuses à découvrir et suivre le handisport, c’est important de soutenir tous nos sportifs. Et si vous avez un handicap il n’est pas trop tard pour rejoindre le mouvement !
Je ne dirais pas toute ma vie car mes études sont aussi très importantes. Mais importante, j’ai d'ailleurs fait des choix de vie pour pouvoir allier les deux.
• Arrives-tu à suivre des études ou à travailler en même temps ? Comment ta journée se décompose-t-elle ?
J’arrive effectivement à suivre des études mais depuis 3 ans je le fais à distance. Après avoir fait une licence en histoire à Bordeaux, j’ai décidé de m’orienter vers les sciences de l’éducation pour donc passer une L3, un Master 1 et maintenant je rentre en Master 2. Comme c’est à distance, je suis assez libre. Je n’ai pas de cours en visio, juste des cours en ligne et je peux ainsi assister à tous les entrainements.
• Une basketteuse en fauteuil peut-elle vivre de son sport ? As-tu des sponsors personnels ?
Actuellement non on ne peut pas vivre de son sport étant donné que le championnat français n’est pas professionnel mais amateur. Je n’ai pas non plus de sponsor personnel
• La moyenne d’âge des sélectionnées en Equipe de France Féminine aux Europe de 2019 est assez élevée : 6 joueuses de plus de 38 ans et seulement 3 de moins de 25 ans. C’est « génération Michel Sardou » contre « génération Wejdene » ou vous arrivez à gérer ce grand écart dans le groupe ?
La différence d’âge n’est pas un problème à gérer. On reste avant tout coéquipières et on s’entend très bien, l’ambiance est bonne au sein de l’équipe.
• Quand on est joueuse de basket fauteuil, quel regard porte-t-on sur le basket valide ? Avez-vous des relations entre Equipes de France ?
Je suis énormément l’équipe de France Féminine de basket valide mais j’essaie aussi de suivre l’équipe de Lattes/Montpellier d’où je suis originaire. Après, nous ne faisons pas nos stages aux mêmes endroits même si ça pourrait être génial !
• Les seuls matchs de basket fauteuil auxquels j’ai pu assister sont ceux qui étaient proposé à Toulouse en lever de rideau des matchs de Ligue 2 du TMB. Que peut-on faire pour rendre ce sport plus visible ?
Diffuser les matchs sur internet et montrer les rencontres les plus prestigieuses (ou des highlights) dans les journaux par exemple
• Dans le futur, pourrais-tu t’engager au niveau de la Fédération ou du Pôle France Jeunes pour faire en sorte que les personnes souffrant de handicap n’attendent pas 17, 18 ou 20 ans pour tenter leur chance dans le sport ?
Oui bien sûr si la possibilité se présente j’aimerais beaucoup aller à la recherche de potentiels sportifs ou sportives, peu importe le sport d’ailleurs. L’objectif est surtout de faire connaitre le handisport.
• Tu assumes et tu parles très librement de ton handicap. On imagine quand même que tu peux connaitre des coups de « moins bien ». Vers qui ou quoi te tournes-tu alors ?
Oui c’est vrai, le handicap n’est pas tabou pour moi et je le vis bien !
• Tu as aussi été Marraine de Handi’Com. Peut-être as-tu d’autres engagements auxquels tu tiens ? Est-ce important pour toi de t’engager et que penses-tu pouvoir apporter ?
C’est exact j’ai été marraine du Handi’Com sur Montpellier (2019 et 2020), je suis aussi ambassadrice de l’association montpelliéraine Espoir SLA qui récolte des fonds pour la recherche sur la maladie de Charcot. Je suis également impliquée dans les 24h de l’Institut Saint Pierre (centre de rééducation à Palavas-Les-Flots). J’aimerais montrer que l’on peut faire plein de choses malgré un handicap et aussi promouvoir le handisport. Soutenir des causes est très important pour moi.
• On termine par deux petites questions hors basket : un doudou, on objet fétiche, un porte-bonheur ?
Rien de tout ça pour moi !
• La soirée idéale ?
Un film et du pop-corn ou un livre et du thé, cela change du basket
• C’est la tradition dans mes interviews Lisa, je te laisse le dernier mot…
J’espère que vous serez nombreux et nombreuses à découvrir et suivre le handisport, c’est important de soutenir tous nos sportifs. Et si vous avez un handicap il n’est pas trop tard pour rejoindre le mouvement !
Grand merci à toi Lisa pour ta disponibilité et pour nous avoir fait connaître le basket-fauteuil côté joueuse. Rendez-vous est pris à Paris pour le meilleur des résultats possibles à l'occasion de Paris 2024, le plus beau des enjeux.
En attendant amis lecteurs, ne ratez pas une occasion d'aller voir une rencontre de basket-fauteuil. Que ce soit par curiosité, par passion du basket ou pour d'autres raisons, ces sportifs le valent bien !
En attendant amis lecteurs, ne ratez pas une occasion d'aller voir une rencontre de basket-fauteuil. Que ce soit par curiosité, par passion du basket ou pour d'autres raisons, ces sportifs le valent bien !