L'avantage de prendre une dégelée, c'est de n'avoir pas de regrets. Mais c'est bien le seul... Car soyons réaliste : la Serbie - qui fait un superbe Champion d'Europe 2021 - a piétiné la France bien plus que le score final ne l'indique,
Sur W9, Yannick SOUVRE a beaucoup mis en évidence toutes les lacunes de l'Equipe de France ce soir. La seule chose qu'elle a oublié de mentionner, c'est la qualité du jeu produit par les serbes des deux côtés du terrain : efficaces en attaque et dures en défense. Pourtant, tout le monde nous y voyait déjà. L'Espagne, hyper favorite de "son" EuroBasket ? Eliminée ! La France ? Au top avec des nettes victoires lors des premiers matchs. La Serbie ? Deux prolongations en quart et en demi, elles sont cuites.
On avait juste oublié de voir l'autre face de la pièce en se disant que les serbes arrivaient au contraire lancées comme des balles et que les tricolores, en réalité, n'avaient rencontré aucun adversaire digne de ce nom en quart (Bosnie-Herzégocine) ou en demi (Bélarus). Au final, elle s'est fracassée dans les grandes largeurs contre son premier adversaire.
La seule véritable excuse que l'on peut accorder à nos Bleues est d'avoir du se passer d'Olivia EPOUPA, ce qui malgré le talent conjugué d'Alix DUCHET ou de Sarah MICHEL change la donne. Mais je n'en vois pas d'autre. Et si quelqu'un peut m'expliquer pourquoi Diandra TACHTCHOUANG termine cette finale avec le même temps de jeu que moi, je suis preneur.
La Serbie a donc piétiné la France... à moins que ce ne soit Marina MALJKOVIC qui ait piétiné Valérie GARNIER une fois de plus comme elle l'avait déjà fait en 2015 ou comme Lucas MONDELO l'a lui aussi fait en 2013, 2017, 2019. Mais ça, chuuuuut, il ne faut pas le dire.
Sur W9, Yannick SOUVRE a beaucoup mis en évidence toutes les lacunes de l'Equipe de France ce soir. La seule chose qu'elle a oublié de mentionner, c'est la qualité du jeu produit par les serbes des deux côtés du terrain : efficaces en attaque et dures en défense. Pourtant, tout le monde nous y voyait déjà. L'Espagne, hyper favorite de "son" EuroBasket ? Eliminée ! La France ? Au top avec des nettes victoires lors des premiers matchs. La Serbie ? Deux prolongations en quart et en demi, elles sont cuites.
On avait juste oublié de voir l'autre face de la pièce en se disant que les serbes arrivaient au contraire lancées comme des balles et que les tricolores, en réalité, n'avaient rencontré aucun adversaire digne de ce nom en quart (Bosnie-Herzégocine) ou en demi (Bélarus). Au final, elle s'est fracassée dans les grandes largeurs contre son premier adversaire.
La seule véritable excuse que l'on peut accorder à nos Bleues est d'avoir du se passer d'Olivia EPOUPA, ce qui malgré le talent conjugué d'Alix DUCHET ou de Sarah MICHEL change la donne. Mais je n'en vois pas d'autre. Et si quelqu'un peut m'expliquer pourquoi Diandra TACHTCHOUANG termine cette finale avec le même temps de jeu que moi, je suis preneur.
La Serbie a donc piétiné la France... à moins que ce ne soit Marina MALJKOVIC qui ait piétiné Valérie GARNIER une fois de plus comme elle l'avait déjà fait en 2015 ou comme Lucas MONDELO l'a lui aussi fait en 2013, 2017, 2019. Mais ça, chuuuuut, il ne faut pas le dire.
On entendra les jours prochains que tout le monde ne fait pas 5 finales consécutives, fussent-elles perdues. C'est vrai. Mais tout le monde n'a pas non plus un réservoir de 67 millions d'habitants (1er Serbie : 6.9 M habitants, 2ème France : 67 M habitants, 3ème Belgique : 11.5 M habitants, 4ème Bélarus : 9.5 M habitants et 5ème Bosnie Herzégovine : 3.3 M habitants : le classement final est édifiant), un système de formation supposé des plus efficaces, une compétition organisée 2 fois chez elle, un des trois championnats les plus relevés, si ce n'est le plus relevé quand on écarte les pays aux budgets pharaoniques et même sa naturalisée "comme tout le monde". Mais ça, on l'entendra moins.
Il n'y a donc pas à se glorifier de cette médaille d'argent et la France est à sa place. Il lui reste à trouver ce qui lui manque pour percer ce plafond de verre, pour se greffer un mental comme seuls les pays de l'Est peuvent en avoir un bref ! à gagner.
Une fois les larmes séchées et la déception avalée, il restera à se mettre au travail !
Il n'y a donc pas à se glorifier de cette médaille d'argent et la France est à sa place. Il lui reste à trouver ce qui lui manque pour percer ce plafond de verre, pour se greffer un mental comme seuls les pays de l'Est peuvent en avoir un bref ! à gagner.
Une fois les larmes séchées et la déception avalée, il restera à se mettre au travail !