L'EuroLeague, pour quoi faire?

Nous y voilà...ou presque!
Après 2 saisons européennes dans la cour des "petits", l'EuroCup, nous voilà admis à jouer dans la cour des grands. Plutôt pas mal, et surtout le fruit de la superbe réussite de la saison dernière.
A nous Bourges, Moscou, Riga et autres Pecs!

Oui mais... Car il y a un "mais".
Nous n'avons pas tout à fait conservé le niveau de l'équipe qui nous a conduit à cette épreuve. Alors dans quel état allons-nous traverser cette épreuve (vous noterez que dans le cas présent il se peut que les différents sens du mot "épreuve" soient de circonstance...) et surtout comment en ressortirons-nous fin décembre à l'issue de la phase de poule?

Bien sûr, il y a quelques avantages:
- des jolies rencontres à domicile: il ne faudra pas manquer par exemple Spartak Moscou et ses stars Taurasi, Osipova, Shchegoleva, Bird et une certain Kelly Miller...
- de l'expérience pour nos jeunes: quoi de mieux que d'affronter les meilleurs pour progresser?
- quelques recettes billetterie: on pourrait imaginer que les grandes équipes attirent plus de monde que les petites;

Mais il faudra aussi savoir gérer les inconvénients:
- le coût: Moscou, Vilnius, Kosice ce n'est pas Venise ou Las Palmas. Difficile d'y aller en minibus!
- la fatigue: même raison que précédemment. Dans quel état nos joueuses vont-elles rentrer alors que nous savons que nous n'avons pas les moyens financiers de faire les déplacements en catégorie "luxe";
- les défaites: car il y en aura, et peut-être certaines assez lourdes;

Qui l'emportera? Le "pour" ou le "contre"?
Allez, pour les réponses à toutes ces questions, rendez-vous mercredi soir!