Des ambitions raisonnables pour la NF2 (servir à la fois de réservoir pour l'équipe LFB et de formation pour les meilleures cadettes) et les minimes (construire la nouvelle génération), de grosses ambitions pour les cadettes (le doublé Coupe/championnat, tout simplement): c'est une vraie politique de club que nous a décrit le vice-président depuis trois jours.
"Soyons clairs: la priorité reste l'équipe professionnelle. Mais derrière, il y a tout un club et de vrais projets. Depuis 2 ans et demi, nous avons choisi de nous orienter vers l'excellence, vers la qualité plutôt que la quantité. D'avoir des jeunes pour les faire travailler et les faire évoluer pour certains jusqu'à la LFB".
Passionné toujours, il insiste sur le fait qu' "être pro, c'est un vrai métier. Et il faut s'en donner les moyens. Un club sportif est aussi une entreprise de spectacle qui doit être géré comme une entreprise, produire un spectacle sportif et avoir des résultats. a particularité, c'est qu'il faut faire tout cela en gardant l'esprit et les valeurs du sport."
Un état d'esprit, pas une obligation
C'est son credo! "Il faut intégrer la formation à tous les étages, des minimes jusqu'aux pros. Il faut construire des passerelles entre toutes les équipes, à l'image des entraînements des pros auxquelles certaines des plus jeunes participent". L'aspect psychologique est également primordial. Ecoutons les explications: "il faut mettre les gens au centre des projets et des objectifs, gérer les égos bien sûr, mais aussi faire en sorte que chacun croit en son potentiel. C'était le cas de l'équipe pro vice-championne de France il y a deux ans. C'est ce qu'il faut reproduire".
"Soyons clairs: la priorité reste l'équipe professionnelle. Mais derrière, il y a tout un club et de vrais projets. Depuis 2 ans et demi, nous avons choisi de nous orienter vers l'excellence, vers la qualité plutôt que la quantité. D'avoir des jeunes pour les faire travailler et les faire évoluer pour certains jusqu'à la LFB".
Passionné toujours, il insiste sur le fait qu' "être pro, c'est un vrai métier. Et il faut s'en donner les moyens. Un club sportif est aussi une entreprise de spectacle qui doit être géré comme une entreprise, produire un spectacle sportif et avoir des résultats. a particularité, c'est qu'il faut faire tout cela en gardant l'esprit et les valeurs du sport."
Un état d'esprit, pas une obligation
C'est son credo! "Il faut intégrer la formation à tous les étages, des minimes jusqu'aux pros. Il faut construire des passerelles entre toutes les équipes, à l'image des entraînements des pros auxquelles certaines des plus jeunes participent". L'aspect psychologique est également primordial. Ecoutons les explications: "il faut mettre les gens au centre des projets et des objectifs, gérer les égos bien sûr, mais aussi faire en sorte que chacun croit en son potentiel. C'était le cas de l'équipe pro vice-championne de France il y a deux ans. C'est ce qu'il faut reproduire".
L'importance de la formation
C'est l'une des difficultés auxquelles notre homme est parfois confronté: faire comprendre à ses interlocuteurs toute l'importance d'un Centre de Formation. Et de citer alors celui du MAHB, référence nationale, celui du foot qui gagne la Coupe Gambardella ou celui du rugby grâce auquel en grande partie le MHR s'est maintenu en Top14. "Le Centre de Formation doit permettre à la LFB d'avoir un réservoir de joueuses pour atteindre ses objectifs. Surtout dans la conjoncture actuelle... Alexia PLAGNARD, Leslie FOURNIER et Manon VIERNE en sont l'exemple, même si parfois j'aimerais que l'on profite de certaines circonstances de matchs pour leur donner un peu plus de temps de jeu"
Construire quelque chose de solide
Le BLMA, estime Eric, a maintenant le choix pour son recrutement. La situation, financière notamment, a été améliorée considérablement depuis 2 ans. Il doit maintenant devenir LA référence en la matière, être l'équivalent en basket féminin du MAHB en handball masculin. Nous avons les outils pour cela, d'autant que la Grande Salle arrive. C'est un atout supplémentaire".
Mais attention prévient-il: "il n'y a pas de place pour le hasard. Il faut les trois pieds au tabouret: le pilotage, les structures et les hommes".
Lui qui a connu dans sa carrière des clubs solides comme des clubs "météorites" a les yeux qui brillent quand il évoque les grands clubs comme Limoges ou Cholet: "il faut construire quelque chose qui dépasse les hommes qui s'en occupent, quelquechose qui subsiste quand nous ne serons plus là".
Que rêver de mieux pour le BLMA?
C'est l'une des difficultés auxquelles notre homme est parfois confronté: faire comprendre à ses interlocuteurs toute l'importance d'un Centre de Formation. Et de citer alors celui du MAHB, référence nationale, celui du foot qui gagne la Coupe Gambardella ou celui du rugby grâce auquel en grande partie le MHR s'est maintenu en Top14. "Le Centre de Formation doit permettre à la LFB d'avoir un réservoir de joueuses pour atteindre ses objectifs. Surtout dans la conjoncture actuelle... Alexia PLAGNARD, Leslie FOURNIER et Manon VIERNE en sont l'exemple, même si parfois j'aimerais que l'on profite de certaines circonstances de matchs pour leur donner un peu plus de temps de jeu"
Construire quelque chose de solide
Le BLMA, estime Eric, a maintenant le choix pour son recrutement. La situation, financière notamment, a été améliorée considérablement depuis 2 ans. Il doit maintenant devenir LA référence en la matière, être l'équivalent en basket féminin du MAHB en handball masculin. Nous avons les outils pour cela, d'autant que la Grande Salle arrive. C'est un atout supplémentaire".
Mais attention prévient-il: "il n'y a pas de place pour le hasard. Il faut les trois pieds au tabouret: le pilotage, les structures et les hommes".
Lui qui a connu dans sa carrière des clubs solides comme des clubs "météorites" a les yeux qui brillent quand il évoque les grands clubs comme Limoges ou Cholet: "il faut construire quelque chose qui dépasse les hommes qui s'en occupent, quelquechose qui subsiste quand nous ne serons plus là".
Que rêver de mieux pour le BLMA?